Neoprog.eu
Menu

Lost In Perception
Retrospective - Lost In Perception
Titre : Lost In Perception
Groupe : Retrospective
Sortie : 2012
Label : Progressive Promotion Records
Format : CD
Genre : Metal progressif

La chronique note de la chronique
Les évaluations Evaluations
Connectez-vous pour donner une évaluation

Titres

  • The End Of The Winter Lethargy
  • Huge Black Hole
  • Egoist
  • Lunch
  • Our Story Is Beginning Now
  • Tomorrow Will Change
  • Musical Land
  • Ocean Of A Little Thoughts
  • Swallow The Green Tones

Formation en 2005

Jakub Roszak [], Beata Lagoda [clavier], Marciej Klimek [], Lukasz Marzalek [], Robert Kuzik [batteur], Alan Szczepaniak []

Retrospective est un groupe polonais qui sort chez Progressive Promotion Records Lost In Perception, son deuxième album après Stolen Thoughts en 2008 et un EP en 2007.

Le groupe se compose de Jakub Roszak au chant, Beata Lagoda aux claviers et chant, Marciej Klimek à la guitare, Lukasz Marzalek à la basse, Robert Kuzik à la batterie et Alan Szczepaniak à la guitare.

Jakup Roszak chante un peu comme Paul Manzi dernier chanteur en date de ARENA, si vous avez lu la chronique de The Seventh Degree Of Separation, vous comprendrez que non, je ne suis pas fan de ce timbre limite, forcé et qui dérape fatalement sur scène, une voix qui manque de coffre, de variations et qui donne du coup des lignes mélodiques assez pauvres.

Ou ben elle commence mal cette chronique...

Rassurez-vous il n’y a pas que le chant dans le progressif, il y a également la musique. Mais voila, Retrospective n’a vraiment rien inventé en terme de musique, c’est hélas du déjà vu, déjà entendu, déjà joué et rejoué. Alors d’accord c’est bien joué, aucun problème, mais cela manque affreusement de dynamique et d’originalité.

Le titre Tomorrow Will Change sort clairement du lot, en cause le chant qui s’aventure un peu plus loin que d’habitude. Musical Land frise l’insupportable avec ses percussions et sa musique répétitive, le titre se rattrape sur la fin avec un belle partie instrumentale mais le mal est fait.

Il y a bien un long métrage, Swallow The Green Tones, morceau dépassant allègrement les dix minutes pour finir l’album, un petit air gilmourien pendant deux minutes avant de retomber dans les travers habituels.

L’album s’écoute quand même, il est lisse, n’agresse pas les oreilles mais ne vous transcendera pas sans doute pas.


Rédigé par Jean-Christophe le 26/11/2012
Commentaires
Aucun commentaire