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Dark Dreams
Rick Miller - Dark Dreams
Titre : Dark Dreams
Groupe : Rick Miller
Sortie : 2012
Label : autoproduction
Format : CD
Genre : Progressif

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Titres

  • Return To Uqbar
  • Angels In The Forest
  • When The Evening Comes
  • Whispers
  • The Transcension
  • Quiet Desperation
  • Hear The Ocean Roar
  • Man Out Of Time
  • The One (Reincarnate)

Formation en 2009


Rick Miller est un artiste canadien qui a, jusqu’à ce jour, a sorti 9 albums depuis 1998. Dark Dreams est son dernier en date.

Il se classe lui-même dans le rock progressif. Pour ma part je qualifierais sa musique de pop atmosphérique à petite tendance progressive, mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

Après cette introduction, vous comprendrez que Dark Dreams est un album assez planant, qui tient un peu de Pink Floyd sans forcément le brio de Guilmour. Neufs morceaux, Angels In The Forest et Quiet Desperation qui dépassent les sept minutes, une belle pochette et un petit quelque chose de Spleen Arcana.

Les rêves sombres ? Justement la surprise est là. L’album est sans doute un tantinet mélancolique, mais sombre pas vraiment. Planant, lent, voir paisible oui.

Alors quand on lit Dark Dreams, rock progressif, on se réjouit de pouvoir s’offrir une tartine de souffrance sur des envolés progressives et là grosse déception. Ce ne sera pas avec cet album que le masochisme progueux trouvera son salut. Une seule voie Antimatter...

Alors une fois passé la surprise, on découvre la musique de Rick accompagné par Barry Haggarty à la guitare, Mateusz Swoboda au violoncelle, Nancy Foote à la flûte, Kane Miller au violon Will aux percussions et Kristina Vowel aux chœurs. Le reste c’est Rick Miller.

Une musique lente, pas vraiment technique, atmosphérique, agréable, parfois world music qui coule plus qu’elle ne vous imprègne et le problème, c’est qu’un fois passée la première écoute, l’oreille a à peu près tout discerné ce qu’il y avait à entendre, il ne reste plus grand chose à découvrir. Le chant de Rick devient très rapidement monotone, comme un ronron agréable, bruit de fond qui ne dérangera personne.

Allez je vais faire court pour une fois, je me suis profondément ennuyé avec cet album...
Ce n’est pas mauvais, il y a même quelques petites choses à droite ou à gauche à la guitare qui sont sympa, mais sans un ou deux expresso italiens, je m’endors.


Rédigé par Jean-Christophe le 25/02/2013
Commentaires

Merci pour la correction sur sa discographie.

Après, malgré de vraies écoutes, je n'accroche pas, question de goût je pense.
Le 02/03/2013 par Neoprog

Le premier album de Rick Miller date de 1998 - Interstellar Passage - il en est à ce jour a son 8 ème LP. Son dernier album surprend par ses mélodies douces et apaisantes plus travaillées qu\'il n\'y parait à réécouté avec attention.


Le 02/03/2013 par bichnou