Titres
Formation en 2010
Yvan Guillevic [], John Chaussepied [], Nelly Le Quilliec [], Morgan Marlet [], Jean-Noël Rozé [clavier], Bernard Clémence [], Julien Oukidja [batteur]
PYG c’est un groupe de rock, rock progressif breton qui nous livre cette année leur deuxième album, We live, we die.
La formation est menée par Yvan Guillevic, guitariste talentueux très inspiré par David Guilmour. Leur musique, oscille entre du Pink Floyd et un rock très rentre dedans qui me fait toujours penser à certains passages de la comédie musicale Fame.
Une formation assez riche composée de Yvan Guillevic et John Chaussepied aux guitares, Nelly Le Quilliec et Morgan Marlet au chant, Jean-Noël Rozé aux claviers, Bernard Clémence à la basse et Julien Oukidja à la batterie.
Pour ce second album, quatre invités, Pat O’May à la guitare, Alain Boccou au growl, Jorris Guibaud au clavier et Clothilde Trouillaud à la harpe celtique.
Beaucoup de monde donc sur cet album énergique de onze titres.
Je dois avouer que PYG me séduit quand ils s’inspirent de Pink Floyd, quand la guitare s'envole sur des soli brillants et quand les claviers planent, comme sur We live, we die (part 1) ou encore The Dog who wants to play. La voix de Nelly a particulièrement progressé depuis leur premier album et c’est un réel plaisir de l’entendre monter en puissance.
L’instrumental Beyond the last gate est un pur moment de bonheur, un peu dans la veine de Serenity de ARENA, toujours trop court hélas. I wont let you go n’est pas mal non plus, il offre une plage paisible dans l’album et une belle place à la voix de Nelly. Song of the werewolf termine assez bien l’album, prenant le temps de se développer, belle introduction, instrumental central aux claviers avec Jorris, growl de Alain, superbe solo de guitare. Même si la partie rythmique reste un peu plan plan, le morceau mérite le détour.
J’ai plus de mal sur les titres comme Easy Livin ou Hey woman, au son nettement plus rock, trop direct mais c’est j’imagine aussi cette musique qui attire le public du groupe alors bon.
Les points faibles restent un peu les mêmes que sur le précédent opus hélas, une musique trop directe à mon goût sur de nombreux titres, une partie rythmique un peu trop simple, une batterie qui manque de recherche et une prononciation anglaise un tantinet trop béret et baguette.